Olivier Cornil

fait peu d’images du quotidien

Sauf, de temps en temps, un portrait de Paul. L’aventurier, le chevalier, l’indien. Tout doucement, j’apprivoise également Hermine : la chipie, l’intrépide, l’indomptable.

Peut-être parce qu’avoir des enfants représente pour moi une jeunesse inattendue. L’air, la surprise, la joie.